Meltis, le spécialiste de la formation professionnelle sur-mesure, propose un Team Building innovant pour renforcer la cohésion d’équipe : Team Burger. Cette solution originale (enregistrée à l’INPI) se veut à la fois excitante et stressante de manière à pousser les différents collaborateurs de l’entreprise à travailler en équipe. Matériel de restauration, faux hamburgers et période de rush sont au rendez-vous pour recréer l’ambiance du fastfood. Ce Team Building ludique créé par Meltis, permet d’aborder des problématiques essentielles rencontrées au sein de l’entreprise comme l’organisation, l’adaptation au changement, le leadership et la créativité.
Le Team Burger, une solution ludique pour le travail d’équipe
Meltis propose à ses clients une expérience de Team Building inédite : Team Burger. Le principe est simple : recréer la période de rush d’un fastfood pendant deux heures et soumettre les participants à diverses contraintes propres à la restauration rapide. Commandes qui se succèdent, transactions monétaires, changement de fonction entre les salariés, le tout à un rythme effréné ! Les différentes équipes composées de salariés, toutes fonctions confondues, sont ainsi mises en compétition et doivent s’appuyer sur leur cohésion pour devenir le meilleur restaurant de burger. Ainsi, les salariés doivent s’adapter aux divers bouleversements qui se succèdent et qui ont pour but de créer des « tensions » au sein de l’équipe. C’est à la fois le ressort ludique du jeu et sa capacité à créer un univers de team learning. La communication, la flexibilité, l’organisation mais aussi la créativité des stagiaires sont donc testées et mises à rude épreuve. Il s’agit ainsi de reproduire en quelques heures ce qui peut se passer en une seule année dans l’entreprise.
« En créant ce Team Building, nous souhaitions tester les capacités des salariés à travailler en équipe et à les mettre en difficulté pour qu’ils trouvent les clés en s’entraidant. En fait, nous recréons les problématiques quotidiennes que peuvent rencontrer les salariés au sein de l’entreprise pour leur donner des réponses dans leur travail. Ce jeu a été conçu de toute pièce pour sensibiliser et renforcer les compétences des collaborateurs, notamment pour un meilleur fonctionnement en équipe », explique Stéphane Waller, fondateur de Meltis.
L’humour et l’originalité pour aborder des problématiques d’entreprise réelles
Au-delà de l’aspect ludique, ce Team Building met les salariés face à leurs propres limites. Les collaborateurs sont ainsi amenés à passer outre leurs différences et leur individualité pour atteindre un objectif commun et faire progresser l’équipe. De plus, construire les équipes en oubliant la hiérarchie permet de désinhiber les employés qui sont alors plus libres dans leur prise de décision et d’initiatives. De nouveaux talents peuvent ainsi voir le jour ainsi que de nouvelles relations. En effet, ce Team Building permet la mise en réseau de l’ensemble des collaborateurs et l’accélération de la création de liens durables ainsi que l’intégration des nouveaux arrivés. Créé pour faciliter les relations humaines et la solidarité entre les employés, le Team Burger, rencontre un franc succès auprès des stagiaires qui doivent s’entraider et travailler de manière ludique. La cohésion ainsi gagnée lors de ce Team Building se retrouvera lors du travail quotidien au sein de l’entreprise. Un bon moyen pour faire travailler les salariés ensemble et leur faire trouver les clés pour être réactifs et s’adapter à une réalité parfois incertaine.
« Ce Team Building est une sorte de laboratoire dans lequel on peut tester et observer la réaction des apprenants. Ces derniers apprécient beaucoup cette façon d’apprendre car Team Burger est une solution ludique pour faire évoluer les compétences des salariés tout en s’amusant. Petit à petit, les apprenants oublient leur poste respectif pour se prendre au jeu, ce qui est très constructif pour l’entreprise. En somme, c’est une façon de passer un bon moment tout en construisant une structure solide pour l’avenir de l’entreprise ! », conclut Stéphane Waller.