Les réseaux sociaux ont industrialisé le bouche-à-oreille. Au-delà de Facebook, Twitter ou Viadeo, il existe une multitude de plateformes sociales sur lesquelles les candidats – que l’on pourrait requalifier de « candid-acteurs » – prennent largement la parole. Selon Franck Perrier, l’e-réputation est perçue comme un enjeu majeur par une grande majorité de dirigeants, qui ne savent toutefois ni la gérer ni la mesurer.
1ère étape : activer une veille
« Parmi les dizaines de solutions sérieuses qui existent aujourd’hui, on trouve deux entreprises françaises : Syntesio et Linkfluence », suggère Franck Perrier.
2e étape : anticiper les crises
Les internautes ne manquent pas de créativité, parfois aux dépens de l’image d’une marque. Bien souvent, en matière d’e-réputation, « les crises proviennent de l’interne », explique Franck Perrier, qui invite les RH à mettre en place des chartes de modération et de bonne conduite pour encadrer les contributions des employés sur le web.
3e étape : prendre la parole pour construire une e-reputation positive
Disneyland Paris a par exemple déployé un écosystème dédié à sa marque-employeur sur Facebook, Twitter et Pinterest.
3 tendances qui bouleversent les RH